Quelques questions aux mamans de triplés …

Bonjour, quelques petites questions aux mamans de triplés
Quelles sont les angoisses principales de mamans de triplés?
Quels sont les clichés sur les triplés qui s’avèrent faux?
Quelles sont les plus grosses galères rencontrées par les parents?
Merci pour vos lumières !
3 Comments
  1. La premiere vrais angoisse enfin pour moi se fut l’annonce de la grossesse, apres l’effet de surprise, on rentre dans la réalité et les difficultées, et risque d’une telle grossesse. J’ai des bon souvenirs de ma grossesse mais aussi beaucoup de stress. A chaque écho la meme inquietude est ce que tout vas bien, est ce qu’elles grandissent bien etc…
    Accouchement a 33 sem par cesa un peu en urgence car j’etait en pré eclampcy, donc les filles on fait 1 mois et demis de néonat . Et la aussi c’est plutot éprouvant surtout les premieres semaines .
    Donc j’ai 3 filles aujourd’hui elles ont 5 ans et demis et se portent trés bien.
    Alors moi aussi j’apprehendais beaucoup les épidémies, surtout les gastros car sa franchement surtout quand ils sont bébés c’est pas facile a gérer. Beaucoup d’intendance, donc plus de fatigue au quotidien .
    Apres les sorties^pas facile non plus les gens sont envahissant il sont curieux et par fois méchant j’ai eu des periodes ou je n’vais plus envie de sortir a cause de ça.
    On se retrouve également mis un peu de coter par le cercle amical et famillier , dans leurs petites enfance on ne voyais que tres peu de peronnes et en géneral on ne nous inviter pas c’est chez nous que les personnes vennaient. Aujourd’hui qu’elles ont grandis on recommence a nous invités, et cela fais beaucoup de bien . Sinon c’est que du bonheur on vie vraiment quelque chose d’unnique la relation qu’elles peuvent avoir c’est magique,

  2. Merci Stéphie pour tes réponses !! On prépare l’article avec Dolittle !

  3. Angoisses principales ? la gestion des maladies et surtout la contamination entre eux, qui est bien sûr inévitable… les problèmes de dominants-dominés, ou la difficulté pour chacun des trois de trouver sa place au sein de la fratrie.
    Côté clichés, je ne sais pas… je ne me suis jamais trop arrêtée là-dessus. Je ne cultive pas le phénomène « triplés », d’ailleurs c’est un terme que l’on emploi quasiment jamais pour parler de nos enfants. Ils ne se ressemblent pas du tout, on les habille complètement différemment, ce qui facilite les choses, à mon gout, pour leur forger une personnalité bien propre.
    Les grosses galères rencontrées ont beaucoup été liées au transport, déplacements de la tribu, surtout lorsqu’ils étaient au stade bébé. Maintenant, à 4 ans et demi, les galères sont derrière, semble-t-il…
    J’ai tout de même un peu d’appréhension vis-à-vis de l’école-primaire, avec les apprentissages importants, comme la lecture, en simultané, où là il faudra pouvoir être derrière chacun des 3, et suivre leur rythme pour les accompagner au mieux.
    Mais véritablement, pour moi la plus grosse galère aura été le « regard des autres ». Dans la rue avec ma poussette triple, entendre des mots difficiles, alors qu’on est fatigués, mais tout de même heureux d’avoir donné naissance à 3 trésors ! les gens trop curieux, avides de renseignements et de commentaires désobligeants…!

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